Haïti-Onu

Les Casques bleus ne partiront pas demain

« Compte tenu du climat de volatilité engendré par les élections et de la nécessité d’assurer une transition politique pacifique, ainsi que des difficultés que continue de rencontrer la police nationale pour préserver la stabilité à l’échelle nationale, il s’avère indispensable de maintenir une force de réaction rapide en Haïti », c’est la conclusion faite par le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon, dans son rapport sur Haïti, présenté jeudi dernier au Conseil de sécurité.

Louis-Joseph Olivier
Par Louis-Joseph Olivier
15 sept. 2014 | Lecture : 4 min.
« Compte tenu du climat de volatilité engendré par les élections et de la nécessité d’assurer une transition politique pacifique, ainsi que des difficultés que continue de rencontrer la police nationale pour préserver la stabilité à l’échelle nationale, il s’avère indispensable de maintenir une force de réaction rapide en Haïti », c’est la conclusion faite par le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon, dans son rapport sur Haïti, présenté jeudi dernier au Conseil de sécurité. Cette force de réaction rapide devra compter aussi sur la p
CET ARTICLE EST RÉSERVÉ AUX INSCRITS

Inscrivez-vous gratuitement

Il vous reste 85% à découvrir. Inscrivez vous pour lire la suite de cet article.