Le peintre Jacques Gabriel (1934-1988)

Ah, quel peintre ! C’était avant toute un caractère entier, excessif.

Le Nouvelliste
Par Le Nouvelliste
01 sept. 2014 | Lecture : 2 min.
Ah, quel peintre ! C’était avant toute un caractère entier, excessif. Plus que tout autre figure de l’art haïtien, il possédait de grandes qualités et de visibles modes d’expression. Son plus gros travers était cependant les libertés qu’il prenait avec la vie. Pas seulement grâce à l’alcool ! Tenez, la première fois que j’ai humecté l’odeur d’un stupéfiant, c’était chez lui. C’était sidérant, pour moi. A la ville, Jacques Gabriel ne déméritait pas non plus, menant la vie tumultueuse et tapageuse d’une rock-star. En 1954, il rencontra Alexandr
CET ARTICLE EST RÉSERVÉ AUX INSCRITS

Inscrivez-vous gratuitement

Il vous reste 85% à découvrir. Inscrivez vous pour lire la suite de cet article.