On a failli totalement oublier les jeux de correspondance qui existaient autrefois dans nos écoles. Des échanges de lettres d’amour ou d’amitié entre les écoliers qui ne se connaissent pas. Heureusement, nos hommes politiques sont là pour nous le rappeler. Dans l’espace d’une semaine, le chef de l’Etat et le président du Sénat ont échangé trois correspondances rien que pour s’accuser mutuellement et gentiment de la crise préélectorale. Et le problème reste entier.
Tout a commencé le 20 août dernier lorsque le bureau du Sénat a jugé bon d’écrir