Mon cher PRD, avant toutes choses, permettez-moi de vous remercier : nous sommes depuis longtemps de vieux amis, mieux : de vieux complices, et je n’oublierai jamais l’article – le premier et dois-je le dire ? l’un des meilleurs écrits sur « Tribunal des Grands Vents », plus précisément sur le premier volume – que vous avez écrit sur moi. C’est donc un ami, un complice, qui écrit à un ami, à un complice.
Je viens de lire le billet que vous avez écrit sur « Z, l’État haïtien existe, je l’ai même rencontré », paru simultanément au CIDIHCA et aux