C’est la Notre-Dame de l’Assomption. La ville de Petit-Goâve ne brille pas des feux qu’on lui connaît. Ce n’est pas l’ambiance festive à laquelle les Petits-Goâviens et les innombrables visiteurs sont habitués. Pas de décor. Les pèlerins n’offrent plus leur spectacle coutumier ; ils ne sont que quelques dizaines à arpenter les rues. Quelques banderoles et quelques affiches de bal sont les seules marques que porte la cité de Faustin Soulouque qui a célébré en 2013 les 350 ans de sa fondation.
La nationale numéro 2 ne donne pas à admirer avec