La fiction reste la fiction mais elle est parfois un prétexte pour pénétrer dans les arcanes d’une institution aux secrets bien gardés. Il m’a semblé que les deux auteurs ont capté des bde paroles, recueilli des confidences et comme ils ne peuvent pas en faire étalage dans la presse – qui n’en demanderait pas tant-, alors ils ont choisi une narration, fruit en partie de l’imagination et produit, d’autre part, du vécu. En tout cas, leur connaissance du milieu bancaire, en général est profitable aujourd’hui au lecteur.
En outre, la transnational