À un mois de la réouverture des classes, les responsables de l’établissement « La Maison du sourire » multiplient encore les démarches auprès des autorités du pays afin qu’ils puissent venir en aide aux nombreux enfants déshérités du Wharf Jérémie. Il n’y a aucune trace des programmes sociaux du gouvernement dans cette partie du pays. À vue d’œil, la misère se lit sur le visage des gens de ce vaste quartier populaire de plus de 30 000 habitants. Est légion le nombre d’enfants qui n’ont pas été scolarisés au cours de l’année dernière. L’Union de