En organisant une rencontre mardi avec le Conseil électoral provisoire, la Chambre haute a tenté une nouvelle aventure aux fins de sauver la face à la suite de la séance avortée du jeudi 31 juillet dernier. Les pères conscrits n’ont pas pris l’initiative d’investir les médias électroniques pour justifier l’échec de la séance. En agissant ainsi, ils se sont rendus à l’évidence que, malgré l’appui des six partis politiques, ils ne jouissent plus d’une bonne presse. Très critiqués au sein de l’opinion publique pour n’avoir rien produit comme trava