« D’ici le 15 août, si rien n’est fait pas pour organiser les élections, nous passerons à une autre phase. Ma collaboration avec ce gouvernement prendra fin et j’endurcirai ma position », a fulminé le président du Sénat sur un ton ferme et résolu. Dieuseul Simon Desras ne souhaite pas être le chef de l’opposition face au chef de l’État. Il veut éviter cette situation, mais sinon « nous serons devant le fait accompli et nous n’aurons pas le choix », a-t-il dit.
Il y a un déficit de confiance entre Michel Martelly et les sénateurs. C’est un fait