On attend le président Michel Joseph Martelly à la porte de sortie, c’est-à-dire sur le chemin (non parsemé de roses jusqu’ici) des élections qui doit favoriser une passation des pouvoirs (réussie ou pas) ; et on a raison, et on est angoissé.
D’abord parce que le processus électoral est jusqu’ici marqué par une cascade de crises et d’évènements à rebondissements paralysants, alimentés par les postures et les intérêts antagoniques opposant le pouvoir exécutif et la classe politique dans une sorte de jeu complice qui va, selon toute évidence, d