Après une courte visite à Port-de-Paix, Gary Victor écrit dans le journal Le Nouvelliste qu'il a l'impression que la même quantité de poussière qui se trouve dans les rues de Port-de-Paix existe aussi dans le cerveau des Port-de-paisiens. Récemment, un autre journaliste écrit dans le même journal: « Quand Port-de-Paix tourne le dos à la mer ». Que faut-il dire de plus pour déshumaniser une ville ? Que faudra-t-il ajouter pour montrer que la pensée est à genou ou qu'elle est totalement absente dans cette ville ? Que restera-t-il à dire de la vil