En définitive, la poésie n’est pas morte, elle est toujours en vie. Les créateurs, ayant atteint la maturité et se montrant avisés, choisissent de la diluer dans un autre genre : le roman. Une fusion heureuse. Seulement voilà, l’appréciation est partagée chez les lecteurs qui sont les destinataires finaux du produit créé par l’imagination. Il y en a qui préfèrent la pureté, soit ils lisent un poème, soit ils lisent un roman. Comme d’autres aiment bien la fluidité, la musicalité, la fraîcheur dans un récit. Le mélange est donc prisé. Mine de rie