La menace du président Martelly d’appliquer l’article 12 de l’Accord d’El Rancho si les sénateurs ne veulent pas voter les amendements de la loi électorale ne laisse pas le Sénat indifférent. Le président du bureau du grand Corps, Dieuseul Simon Desras, a minimisé les déclarations du chef de l’État qui a quitté le pays samedi pour un séjour d’une semaine à Taïwan. « C’est une déclaration très arrogante, estime le sénateur Dieuseul Simon Desras, très remonté contre Michel Martelly. Il ne peut pas appliquer l’article 12 de l’Accord d’El Rancho.