Croissance et prospérité partagées : et Haïti dans tout cela ? (2e partie)

Pierre-Raymond DUMAS Au premier plan de comparaison, Raju Jan Singh met l’accent sur notre faible croissance, c’est-à-dire en dessous de 5%, qui est en deçà des 6% initialement prévus pour l’année écoulée, comme l’a reconnu d’ailleurs le gouverneur de la banque centrale, Charles Castel, pour qui «le maintien de la stabilité des prix reste et demeure la préoccupation principale».

Pierre-Raymond  Dumas
Par Pierre-Raymond Dumas
16 avr. 2014 | Lecture : 10 min.
Pierre-Raymond DUMAS Au premier plan de comparaison, Raju Jan Singh met l’accent sur notre faible croissance, c’est-à-dire en dessous de 5%, qui est en deçà des 6% initialement prévus pour l’année écoulée, comme l’a reconnu d’ailleurs le gouverneur de la banque centrale, Charles Castel, pour qui «le maintien de la stabilité des prix reste et demeure la préoccupation principale». Ce n’est pas rien, mais ce n’est pas suffisant, si l’on veut «trouver la solution aux goulets d’étranglement qui freinent la croissance», comme l’avait souligné le séna
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