Crise à l’ONA, la situation n’a pas changé

Les activités sont toujours paralysées au niveau des succursales de l’ONA à Delmas 17 et à Pétion-Ville, malgré les recommandations du CAOSS. Déterminés, les employés ne jurent que par la mise à pied du directeur général, Bernard Desgraff. Entre-temps, tous les services sont au point mort, y compris celui de la pension.

Bertrand Mercéus
Par Bertrand Mercéus
09 avr. 2014 | Lecture : 3 min.
Mercredi 9 avril. 12 h 32. A l’entrée de la succursale de l’Office national d’assurance vieillesse à Delmas 17, des agents de différentes unités de la Police nationale d’Haïti (PNH) montent la garde. L’accès de l’institution est interdit à tout visiteur. Des groupes d’employés sont massés çà et là. C’est le même décor devant cet immeuble de l’ONA depuis plus de trois semaines. Conséquence d'un bras de fer sans précédent opposant le DG de l'institution et les employés qui réclament sa révocation et son arrestation pour ce qu’ils appellent « ma
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