Piétons, voitures, chauffeurs de taxi-moto, marchandes de plats chauds et de fritures, entre autres, se côtoient dans un magma indescriptible à l’entrée de l’avenue Christophe, près du Petit-Four. Ce carrefour est devenu de plus en plus encombré depuis que la Direction générale des impôts y est installée, il y a environ quatre ans. Scotchés contre le mur servant de barrage à cette institution, plus d’une dizaine de jeunes garçons traînent à longueur de journée. « Matrikil ?...», demandent-ils s'adressant à toute personne fréquentant le périm