Avant de prendre l’avion, mercredi, en direction du Vatican à la tête d’une délégation de parlementaires, le président du Sénat délie sa langue sur le brûlant dossier de la Cour supérieure des comptes et du contentieux administratif. Selon Dieuseul Simon Desras, il est exagéré de parler de bras de fer entre l’Exécutif et le Parlement en ce qui a trait au refus du président Martelly de publier les noms de tous les juges à la Cour des comptes.
« Il n’y a pas lieu de parler de bras de fer entre les deux institutions comme on le prétend, a préc