Ils n’avaient pas de pancartes en main. Cependant, leurs cris éveillaient toute la zone. De plus, ils bénéficiaient du support du CASEC de la zone, Pierre Estève Eugène. Les manifestants ont scandé des propos acerbes à l’endroit du gouvernement qui, déplorent-ils, n’a rien fait en vue de la réouverture de ce centre. Cofinancé par la coopération Sud-Sud à travers le fonds IBSA, provenant des gouvernements de l’Inde, du Brésil et de l’Afrique du Sud, et de fonds propres du Programme des Nations unies pour le développement, à hauteur de $3 655 78