La lettre datée du 10 février a commencé par décrire les circonstances ayant précédé la décision de la Cour constitutionnelle dominicaine. « Une telle décision, à caractère raciste, xénophobe et non conforme aux principes fondamentaux qui sous-tendent tout l'édifice des droits de l'homme et des libertés fondamentales, viole systématiquement les droits et la dignité de toute la gent noire mondiale », peut-on lire dans la correspondance dont une copie a été envoyée au journal.
« Par l'adoption d'une telle décision, la République dominicaine fait