Cabaret a aussi son village

Certains déplacés, qui n’ont pas pu trouver un petit lopin de la « terre promise » de Canaan, se sont réfugiés dans d’autres endroits, notamment à Titanyen, Lafiteau, Source Matelas et dans des localités de Cabaret. Des petits villages de camps anarchiques sont toujours remarqués tout au long de la route nationale no 1. Mais, à Haut-Damien, 156 familles sont mieux logées dans un village aménagé par l’USAID et géré par l’Entreprise publique de promotion de logements sociaux (EPPLS).

Valéry Daudier
Par Valéry Daudier
23 janv. 2014 | Lecture : 2 min.
Canaan prolonge ses racines jusqu’à Cabaret. Les victimes du tremblement de terre dans des localités de cette commune au nord de Port-au-Prince ont, eux aussi, dressé leurs tentes. Si plusieurs familles, notamment celles qui vivaient sur le site « Lanmè frape » ont subi, en septembre 2013, des évictions forcées, d’autres continuent d’exercer leurs activités quotidiennes et pensent à leur avenir. Aujourd’hui, bon nombre de tentes ont été remplacées par des structures préfabriquées, des bicoques ou des constructions durables. A Titanyen et à Laf
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