Après une ère euphorique et un immense succès populaire, le football port-au-princien connaît depuis les événements politiques de 1986 des déboires profonds et obstinés. Les clubs évoluent devant des gradins du stade Sylvio Cator dégarnis ou presque. Les déconvenues enregistrées face à des adversaires provinciaux sont loin d\'être réconfortantes. D\'aucuns ne dissimulent pas leur vive inquiétude, espérant une intervention prompte mais avisée des timoniers. Les associations impliquées sauront-elles vider l\'abcès ? Pour l\'instant, n\'est-il pas