Les responsables de la commission de développement frontalier tirent la sonnette d\'alarme et réclament des mesures urgentes pour sauver la Forêt-des-pins.
Le directeur de la commission de développement frontalier, Max Antoine, au cours d\'une visite guidée de la forêt et de plusieurs villes dans la zone frontalière, a mis l\'accent sur l\'intensification du processus de déboisement de la forêt par des résidents de la région.
Il soutient que des 32 mille hectares de forêt, il ne reste plus que 9 mille, précisant que la détérioration de l\