Bambou, maïs, crabe ou déchets de soie: tout est bon, ou presque, pour fabriquer de nouveaux textiles qui prétendent à la fois améliorer le bien-être des consommateurs et préserver l'environnement.
"Nous voulons contribuer, à notre échelle, à une dimension écologique", affirme Dominique Heuillard, directeur des opérations de la société Louis Vidon, l'un des exposants au salon du textile Première Vision qui s'est tenu du 19 au 22 septembre en banlieue parisienne. L'écologie est "une préoccupation exponentielle des nouvelles générations