Les dénonciations des scandales de corruption, de détournement de fonds et autres malversations dont se seraient rendus coupables un nombre important de personnalités du régime intérimaire sont au centre de toutes les conversations.
A partir des données déjà disponibles, ce sont des centaines de millions de gourdes qui se seraient volatilisées dans les rares institutions publiques sur lesquelles les nouveaux responsables ont commencé à se pencher.
On cite par exemple le cas d'un ministère où aucune justification n'a pu être trouvée pour