Le festival que nous arrachait la pluie

Avec une jeune génération poussée au devant de la scène, le public select du Parc Historique de la Canne à sucre (Tabarre), s'apprêtait, samedi dernier, à participer à un vrai « festi-rara ».

Claude Gilles
Par Claude Gilles
10 avr. 2006 | Lecture : 1 min.
Avec une jeune génération poussée au devant de la scène, le public select du Parc Historique de la Canne à sucre (Tabarre), s'apprêtait, samedi dernier, à participer à un vrai « festi-rara ». L'environnement se prêtait à la musique ancestrale..., mais le temps était à la pluie. Tout a commencé par le jeune Paul Beaubrun (fils de Lòlò et de Manzè) qui a grandi dans la sauce « Rasin ». Avec sa voix et sa guitare, il a charrié les revendications de toute une jeunesse. Une musique douce et rebelle pour effacer les retards accumulés par l'organi
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