« Le droit au second tour a été confisqué. Ceux qui l'ont fait ont une grande responsabilité devant l'histoire. Le pays est victime d'une illégalité flagrante, insoutenable. Ce n'est pas une affaire du RDNP ou de Manigat: tous ceux qui sont fidèles à un idéal de paix, aux grandes valeurs universelles de la démocratie et du droit, sont également victimes [...]. Et nous ne pouvons en aucune façon souscrire à la forfaiture ayant abouti à la déclaration présidentielle qui n'est autre chose qu'un coup d'Etat par les urnes ».
Par ces propos, le pr