Les premières élections en Haïti depuis la chute du régime Aristide en 2004 se sont déroulées de manière libre et ont montré que les Haïtiens voulaient la "normalité démocratique", ont dit jeudi des observateurs internationaux, en reconnaissant toutefois des imperfections.
"Le peuple haïtien a manifesté sans équivoque et librement sa volonté de dessiner son avenir dans la voie de la démocratie", a souligné devant la presse Jean-Pierre Kingsley, un Canadien, président de la plus grosse mission d'observation déployée en Haïti avec 127 membres