" Ce n'est pas le moment des divergences ", s'exclame, ce mardi 31 janvier 2006, Max Mathurin, président du Conseil électoral provisoire (CEP). Tenant compte de l'appartenance politique et sociale des différents membres de l'organisme électoral, M. Mathurin n'écarte pas la possibilité de malentendus. Mais, ajoute-t-il, ces différends doivent être résolus par le dialogue.
Qualifiant de rumeur la nouvelle de démission du directeur général, M. Mathurin précise que Jacques Bernard conserve son poste au CEP. « Tout se passe bien au CEP, les pr