Pauvreté, insalubrité, insécurité chronique, carence d'infrastructures et d'investissement, crise aiguë de gouvernance, etc, c'est l'image que projettait la société haïtienne aux lendemains du renversement du régime Lavalas. A défaut d'un plan de développement bien défini, le gouvernement intérimaire appelé à corriger cette situation, s'en est remis totalement aux bons soins de la Communauté internationale principalement, des Etats-Unis, de la France et du Canada.
Une diplomatie à l'image de la réalité du pays
Ce faisant, les autorités