« Faire l'histoire, c'est aller visiter les morts pour qu'après cette visite, ils aillent redormir tristes dans leurs tombeaux ». (Sic)
De tous les écrivains étrangers intéressés aux épisodes tristement célèbres de l'histoire nationale de la deuxième moitié du XXe siècle, Bernard Diederich est l'un des plus remarquables. Et peut-être l'un des plus emballants. De « Papa Doc et les Tonton Macoutes » (préfacé par Graham Greene, Albin Michel, 1971) à « Le Prix du sang / La résistance du peuple haïtien à la tyrannie (Tome 1, François Duvalier