Depuis l'assassinat du président Jovenel Moïse, le Palais national se trouve au centre d'une bataille pour savoir qui doit le contrôler.
Toutes les tentatives du Premier ministre Ariel Henry pour y accéder depuis le mois de juillet se sont heurtées au refus sans équivoque du secrétaire général Lyonel Valbrun, érigé en gardien du temple.
Jusqu’à ce jeudi, le Palais était une chasse gardée. En attente du prochain président ? Pour respecter la mémoire de l'ancien ? Personne ne peut le dire.