Au cours de la journée du lundi 19 avril, la position des associations de magistrats a évolué pour passer d'un mot d'ordre appelant les magistrats de tous les tribunaux et cours du pays à « poursuivre la grève en attendant que des mesures soient prises par l'exécutif pour satisfaire à leurs revendications » pour les inviter à observer une période de trêve à la grève générale. « Étant entendu qu'il y a lieu de manifester en tout temps leur attachement à la loi et aux principes, mais sensibles à la situation précaire des professionnels