Lundi, comme c’était le cas le 29 juin dernier, la police nationale a réprimé un sit-in pacifique d’une cinquantaine de participants qui exigeaient le respect du droit à la vie en particulier. L'institution policière a offert un spectacle nettement différent face aux gangs armés composant l’association « G-9 an fanmi e alye », qui manifestaient mardi pour la réouverture des tronçons de rues bloqués pour endiguer leurs exactions. Les manifestants de lundi avaient des pancartes et des banderoles pour traduire leur ras-le-bol,