Dès l'intro, on pouvait présager quelque chose de formidable. L'équipe, qui se rapproche beaucoup d'une sorte de philharmonie que de ce que beaucoup considèrent dans leur tête comme un groupe konpa de la génération post-86, ouvre le bal avec une adaptation instrumentale de « Mon konpè » de Eddy François. Le son déjà incantatoire de ce chef-d’œuvre du chant rasin est incrusté ce soir-là de jazz, et parfois même de baroque.
Sans transition trop longue, Réginald se dégage de l'ombre partielle dans laquelle la salle é