Dimanche 28 août. Il est 3 h 30 p.m. ; je suis depuis deux heures de temps au Champ de Mars et je déambule sur l'aire vaste et découverte de l'amphithéâtre encerclant le kiosque Occide Jeanty. Les fils partent du stand de la « sono », traînent sur le sol, pour monter au podium chargé de haut-parleurs, d'amplificateurs, de micros, de quelques instruments de musique dont une batterie rouge en-dessous d'une grand affiche en toile de fond, faisant la réclame du festival avec la photo de feu Nemours Jean-Baptiste tenant son sax. La piste est pleine