La cité, bien sûr, est pleine de rumeurs. Mais, pour une fois, on parle moins des noms des éventuels premier ministrables que de la réalité sociale. On sort du « zen » pour parler des problèmes, et l’idée de la nécessité d’une rupture avec des structures sociales et le fonctionnement d’un État produisant essentiellement de l’injustice et de l’inégalité semble faire son chemin dans des têtes autrefois hostiles à tout principe de changement.
Il y a, excès de zèle ou aliénation mentale, quelques-uns qui, voulant peut-être jouer aux intell