« Le sentiment est dans la joie. C’est un accident de parcours qui s’est révélé au final très intéressant », se réjouit Jean d’Amérique, faisant ses tout premiers pas dans la dramaturgie, avec Avilir les ténèbres. « Cela me rassure. C’est ma première pièce de théâtre et elle est scrutée par des connaisseurs qui lui attribuent certaines qualités. C’est rassurant », affirme le slameur qui semble désormais trouver, grâce au théâtre, une autre enveloppe pour son art de prédilection qu’est la poésie.
« À travers Avilir les ténèbres,