Jacques Denis croit dur comme fer que l’avenir du pays dépend en grande partie de la politique éducative mise en place par l’État. Dans le cas d’Haïti, il souligne que la politique éducative, « s’il en a une d’ailleurs », est mal définie par l’État et mal comprise aussi par tous les secteurs de la vie nationale. Selon lui, il n’existe pas d’harmonisation entre les secteurs public et privé. Quand chacun de son côté fait de son mieux ou ne fait rien du tout à quoi cela rime-t-il ? « Il en résulte un dysfonctionnement chronique du système qui n