Marie Florence, la cinquantaine robuste, est marchande de produits éclaircissants, à la rue St-Honoré, près du lycée Toussaint Louverture. Assise sur un banc, elle attend le client éventuel pendant qu’un haut-parleur diffuse à plein régime une publicité vantant ses produits cosmétiques fabriqués de manière artisanale. Depuis vingt ans environ, elle s’adonne allègrement à ce commerce qui lui sied bien. Comme ses clients, ses premières couches épidermiques ont disparu depuis des lustres.
Que dire de plus ? Florence est bel