« Quelque 24 049 Haïtiens ont été rapatriés pendant la période allant de janvier à mai 2018. Ces rapatriements s’effectuent dans des conditions infrahumaines. Les personnes sont appréhendées dans les rues, les jardins, passent un à deux jours en prison. Sans même prendre une douche, les autorités dominicaines les conduisent au niveau de la frontière toutes sales dans une situation déshumanisante », a déploré Pierre Beaubrun, coordonnateur du Groupe d’appui aux rapatriés et refugiés (GARR), dans une entrevue accordée au journal.
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