La honte de la trop grande pauvreté

Je n’en finis pas d’être troublé par les images de pauvreté qui s’offrent à la vue.

Jean-Claude Boyer
Lundi 11 juin 2018
Par Jean-Claude Boyer Lundi 11 juin 2018
12 juin 2018 | Lecture : 3 min.

Je n’en finis pas d’être troublé par les images de pauvreté qui s’offrent à la vue. Quand on déambule à travers les rues, l’étalement de la misère la plus noire ne laisse pas indifférent. Avec le temps, j’opère une distinction entre chômage et inactivité. D’autant que s’impose à nous une autre distinction : le formel et l’informel. Dans l’informel, on retrouve toutes celles et tous ceux qui n’ont jamais eu la chance de décrocher un emploi, un vrai emploi. Par exemple, voir une entreprise agricole, commerciale, industrielle, agro-industrielle

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