Le Nouvelliste (L.N.) : Parlez-nous de la genèse de votre livre.
Bellita Bayard (B.B .): Cette idée m’est venue quelques années après le tremblement de terre du 12 janvier 2010. Nous avions eu la chance de visiter certaines institutions publiques détruites par cette catastrophe. J’assistais, perplexe, non seulement à des pertes en vies humaines, que je déplore jusqu'à présent, mais aussi à la destruction et la disparition des documents constituant la mémoire des institutions publiques. Comparant les conditions dans lesquelles la gesti