Souvent, dans le souci de conceptualiser, nos poètes oublient que la poésie est un domaine de pureté où c’est le langage des mots dans toute leur innocence qui doit primer. Que l’âme se met à nu en se débarrassant des contraintes pour dire l’essentiel avec une beauté que seul le cœur peut comprendre. Édith, dans « Tourbillon de mots », se livre totalement à son lecteur. Elle n’invente pas les mots ni ne se cache derrière des figures de style qui parfois peuvent paraître superflues.
Artiste peintre, enseignante, médecin de formation