Les propos d'introduction de Daniel Marcelin ont été avant toute autre chose la justification d'une telle manifestation de reconnaissance envers l'un de ses prédécesseurs à la tête du Théâtre National. Nonobstant les difficultés rencontrées en cours de route, il a tenu à mettre l'accent sur ce qui demeure l'une des plus belles réussites de cette institution, sa chorale que dirige Fritz Jolicoeur, avec succès, depuis plus d'une décennie.
Après les propos de bienvenue, M. Marcelin, n'a pas voulu présenter lui-même Jean Coulanges à l'assistance,