L'ancien président sud-africain Jacob Zuma a affirmé vendredi être la victime d'accusations "politiques", au premier jour du procès pour corruption qui lui est intenté dans une rocambolesque affaire de ventes d'armes vieille de près de vingt ans.
Deux mois après sa démission, M. Zuma a brièvement comparu dans le box des accusés de la Haute-cour de Durban (nord-est) pour une brève audience, aussitôt renvoyée au 8 juin pour permettre aux parties de peaufiner leurs arguments.