Il y a le français maison de la bourgeoisie et des moyennes et petites bourgeoisies, qui se maintient bon gré mal gré dans certaines familles comme une habitude de classe. Il y a le ridicule de ceux et celles qui croient parler français en parlant créole. Il y a cette imitation de l’accent des banlieues parisiennes par des garçons qui considèrent la connexion avec des réseaux culturels français comme porte de sortie. Il y a ces jeunes de moins de trente-cinq ans qui envoient des manuscrits aux maisons d’éditions haïtiennes et l’ignorance de