L’État est le premier prédateur des droits humains en Haïti, affirme un défenseur des droits humains

« Haïti est l’un des pays où la violation des droits humains est plus répandue », selon le constat fait par le juriste Joinet Merzius, coordonnateur de l’Observatoire haïtien des droits humains (OHDH), qui intervenait à Sak K ap Kwit, un programme télévisé réalisé le mercredi 14 mars sur la chaîne 20.

Worlgenson Noël
Par Worlgenson Noël
16 mars 2018 | Lecture : 2 min.

« Haïti est l’un des pays où la violation des droits humains est plus répandue », selon le constat fait par le juriste Joinet Merzius, coordonnateur de l’Observatoire haïtien des droits humains (OHDH), qui intervenait à Sak K ap Kwit, un programme télévisé réalisé le mercredi 14 mars sur la chaîne 20. Les droits ne sont pas respectés en Haïti, observe-t-il. La réalité est telle que l’Etat, qui devrait pouvoir garantir le respect des droits des citoyens, a failli à ses responsabilités.

Qu’il s’agisse des droits socio-économiques, civil

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