Quand l’Etat veut, il peut

Il a fallu que les plus hautes autorités de l’État tapent du poing sur la table pour que la grève qui paralysait les douanes du pays soit levée.

Jean Pharès Jérôme
Par Jean Pharès Jérôme
13 mars 2018 | Lecture : 2 min.

Il a fallu que les plus hautes autorités de l’État tapent du poing sur la table pour que la grève qui paralysait les douanes du pays soit levée. Avec la mesure de révocation provisoire des permis de port d’arme des douaniers, le gouvernement, semble-t-il, était disposé à aller jusqu’au bout pour faire fonctionner les douanes. Les douaniers grévistes ont bien saisi le message. Ils ont vite trouvé un modus operandi pour mettre fin à leur mouvement. Les deux parties aménagent une sortie honorable. La sous-traitance, le commerce et tout le pays

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