Faut-il une task force, donc un groupe d'études spéciales pour obliger une autorité sportive à rendre compte de sa trésorerie lors d'une assemblée ordinaire ?
Mais si cette assemblée est moribonde et ne juge pas nécessaire de soulever ce sujet, l'État pourvoyeur de fonds annuellement se retrouvera conforté en s'abstenant lui aussi de demander des comptes.
Ainsi, vive l'opacité, vive l'absence de tout controle au nom d'une soi-disant autonomie administrative.
Devant l'absence de cahiers des charges des clubs pour prétendre