Cimetière vivant

Charge tellurique dans la poésie de Claude Carré

Le tremblement de terre du 12 janvier 2010 a inspiré artistes-peintres, écrivains, cinéastes, dramaturges. Le professeur Claude Carré, guitariste, musicien de jazz, exprime l’innommable dans son premier recueil de poèmes, « Vents d’Azur », sous un titre poignant « Cimetière vivant »

Claude Bernard Sérant
Par Claude Bernard Sérant
10 janv. 2018 | Lecture : 3 min.

12 janvier 2010. Une date qui donne le grand frisson. Une vision d’apocalypse en Haïti. Le poète et musicien Claude Carré, dans son recueil titré « Vents d’Azur », fait revivre la dure journée qui aura marqué l’âme de tous ceux et toutes celles qui l’ont vécue dans leur chair. L’un des poèmes de son premier recueil sorti aux éditions Perle des Antilles, « Cimetière vivant », témoigne cette écorchure vive avec des mots qui font gicler le sang et l’effroi de ces yeux immensément ouverts sur le chaos de cette terre qui a broyé des vies. 12 janv

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